dimanche 31 octobre 2010

Incurssion au Montenegro

Indépendant depuis le 3 juin 2006, le Monténégro mise sur ses beautés naturelles et son littoral préservé pour développer le tourisme. Ce petit pays des Balkans méridional de la Croatie abrite de somptueux monastères orthodoxes et des villages médiévaux préservés le long d'une petite portion de 296 km de côte, joyaux du littoral dalmate. Unique fjord de Méditerranée, les Bouches de Kotor justifient à elles seules un voyage au Monténégro, où l'euro est déjà la monnaie officielle.






























mercredi 27 octobre 2010

La perle de l’Adriatique : Dubrovnik


Quelques faits parmi les plus marquants dans l’histoire de Dubrovnik : A l’origine, la ville s’appelait Raguse, elle a été fondée durant la première moitié du 7ème siècle, et dès sa fondation a été placée sous la protection de Byzance. Des habitants de la région, las de voir leurs habitations détruites par les envahisseurs slaves, se réfugièrent sur un gros rocher et le fortifièrent.
En 980, la ville devint le siège d’un évêché, elle était gouvernée par un recteur, élu chaque mois et logé dans un palais.
Des remparts furent dressés autour de la nouvelle ville au 12ème siècle pour contrer les attaques venues d’Orient et d’Occident.
En 1416, elle est le premier état européen à abolir l'esclavage et interdit le commerce des esclaves.
Durant les 15ème  et 16ème  siècles, elle développa son commerce entre l'Europe ottomane et les ports de la Méditerranée. A cette  époque, la flotte  de commerce de la République comptait 160 navires.
Napoléon min fin à la république de Raguse en l’annexant en 1809 au royaume d’Illyrie.
Entre les deux guerres (de 1918 à 1941) Dubrovnik s’enfonça dans le marasme, et vécut comme une cité appauvrie.
Dans la Yougoslavie de Tito, années 1960-1970, Dubrovnik retrouva une certaine prospérité, devenant la ville balnéaire la plus recherchée du pays, la « vitrine » de la Dalmatie.
En 1979, elle fut de nouveau victime d’un tremblement de terre, deux fortes secousses l’ont gravement endommagée. Les travaux de restauration n’étaient pas encore achevés quand, à l’automne 1991, la ville fut attaquée par l’armée serbo-monténégrine.
Cette même année, elle fut inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.